Là où certains voient des tuyaux, je vois de nouvelles technologies qui protègent notre bassin d'Arcachon.
Découvrez la vidéo-portrait de Didier Brunet, directeur du territoire Atlantique chez Veolia
Didier Brunet est directeur du territoire Atlantique chez Veolia. Dans sa « vidéo portrait », il nous explique comment Veolia assure l’acheminement d’une eau de qualité à la population du territoire Atlantique.
Transcription de la vidéo portrait de Didier Brunet
Je m’appelle Didier Brunet, je suis directeur du territoire Atlantique chez Veolia. Ma mission est de fournir à toute la population un élément plus que vital : l’eau. Je suis en charge de son exploitation sur 4 départements : la Gironde, les Landes, la Charente et la Charente-Maritime et j’ai la grande chance de pouvoir travailler sur le Bassin d’Arcachon un lieu unique au monde. C’est un milieu sensible à protéger, notamment pour la culture des huîtres, qui fait partie de l’identité de notre territoire. On ne peut pas y travailler sans l’aimer et l’adopter.
Depuis 2016, nous améliorons ensemble la performance et le rendement des 900 km de réseau de distribution d’eau potable pour limiter la pression sur la ressource. Parce que ici, chaque été, la population passe de 65 000 à 240 000 personnes. C’est un vrai challenge d’accueillir chaque année tous ceux qui souhaitent profiter de cet environnement exceptionnel, sans lui porter préjudice bien sûr.
Chaque litre pompé doit être valorisé au maximum : pour cela, nous avons installé le télé relevé des compteurs, des sondes décelant les fuites et des capteurs pour détecter l’ouverture des bornes d’incendie. Ces instruments fournissent en temps réel jusqu’à 50 000 données par jour pour des interventions rapides et efficaces de nos équipes.
Grâce à nos outils technologiques, nous maîtrisons aussi la qualité de l’eau potable et notamment son goût. Nous avons constitué un panel de goûteurs d’eau, que nous avons formé. Nous sommes fiers d’impliquer la population dans notre travail.
Nous devons également faire face aux phénomènes météorologiques violents, comme les orages intenses de juillet. Quand il y a de gros volumes d’eau comme ça, le risque est que les stations d’épuration soient submergées et lessivées. Heure après heure nous avons collecté les données de la supervision et de la météo pour contrôler les seuils d’alerte. Afin d’éviter tout débordement, les bassins de stockage ont immédiatement pris le relais. La dépollution du trop-plein d’eau a pu se faire sereinement avant d’être rejetée dans l’océan, dans le respect strict du cycle de l’eau.
Là où certains voient des tuyaux, moi je vois de nouvelles technologies qui protègent notre Bassin d’Arcachon.
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