Transformation écologique : sommes-nous (toujours) prêts ?

66% des habitants du monde sont convaincus que l’inaction coûtera plus cher que l’action écologique.
Foule assise dans un champs, entourés d'arbres, faisant face au soleil couchant

Depuis 2022, Veolia, en partenariat avec Elabe, publie tous les deux ans le Baromètre de la Transformation Écologique, enquête d'opinion mondiale exclusive, axée sur le degré d'acceptabilité des solutions écologiques et analysant les obstacles et les leviers d'action pour accélérer la transformation. Il couvre un échantillon représentant plus de la moitié de la population mondiale, répartie sur les cinq continents.

La deuxième édition de ce baromètre offre un aperçu inédit de la compréhension des conséquences du dérèglement climatique par les habitants du monde entier. Ces derniers expriment une inquiétude croissante pour leur santé et perçoivent une menace pour leurs conditions de vie face aux défis environnementaux. Conscients de ces dangers, les habitants du monde appellent à l'action.

Pour relever ces défis, les citoyens se disent prêts à accepter les changements nécessaires à la généralisation des solutions existantes pour lutter contre le changement climatique et la pollution. Face au défi climatique et écologique, c'est le besoin de protection qui motive leur volonté d'agir. Car aujourd'hui, ils considèrent que le coût de l'inaction sera beaucoup plus élevé que celui de l'action.

 

Principaux enseignements du baromètre en France

97% des Français (97% des répondants au niveau mondial) estiment que la santé est l'enjeu prioritaire quant aux décisions locales concernant l'eau, les déchets et l’énergie, le prix final venant en dernier.

66% des Français (64% des répondants au niveau mondial) se sentent vulnérables à un risque sanitaire engendré par le dérèglement climatique. Ces risques se traduisent par une augmentation des maladies infectieuses, les pollutions, la baisse de la qualité des aliments et les problèmes de santé mentale.

65% des Français (67% des répondants au niveau mondial) pensent qu’une solution qui favorise la préservation de leur santé les inciterait à modifier leurs habitudes ou à accepter un coût légèrement plus élevé.

68% des Français (66% des répondants au niveau mondial) sont convaincus que l’inaction coûtera plus cher que l’action écologique.

Les résultats de la deuxième édition du Baromètre de la Transformation Écologique témoignent d'une opinion publique mondiale résolument tournée vers l'action. 
L'attente est forte pour la mise en place de solutions accessibles et justes, qui protègent notre santé en réduisant des pollutions et préservent nos territoires de phénomènes climatiques extrêmes.
C'est l'enseignement qui guidera notre action dans les années à venir, a déclaré Estelle Brachlianoff, Directrice générale de Veolia

portrait d'Estelle Brachlianoff, Directrice générale de Veolia